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PORTRAIT | Michèle Dévérité, claveciniste

16 mai 2018
Connaissez-vous Forqueray ? Personnellement ce nom ne m’évoquait rien de particulier jusqu’à ce que je rencontre Michèle Dévérité, claveciniste. Elle vient de sortir une intégrale de quatre CD des pièces de musique écrites par les Forqueray père et fils, compositeurs français du 18ème siècle. Cet enregistrement nous fait découvrir l’incroyable richesse sonore du clavecin entouré du violon et de la viole de gambe. Conquise par cet univers musical, il me fallait comprendre le cheminement qui a mené Michèle Dévérité à enregistrer cette intégrale. Et le charme de la découverte s’est prolongé au contact de cette interprète passionnée, de la grande musicienne humble et chaleureuse à la conteuse malicieuse, car il y a beaucoup à dire sur l’histoire des Forqueray ! Cette intégrale a reçu un  « Diapason d’Or » et est distribuée par Harmonia Mundi.  

Michèle, pouvez-vous nous présenter la musicienne que vous êtes ?

Je suis claveciniste, j’enseigne le clavecin et la musique de chambre. J’effectue également des recherches sur les compositeurs inconnus italiens autour de 1600. Cette musique napolitaine de clavier est selon moi à l’origine de la musique occidentale baroque. C’est une véritable passion. J’ai enregistré pas mal de ces magnifiques compositeurs italiens chez Arion, c’est une musique à la fois savante et populaire jouant sur le registre de l’émotion avec un côté complètement délirant. Ce sont les italiens qui ont amené à Paris la musique virtuose.

Comment votre histoire avec la musique a-t-elle commencé ?

Mon père était musicien et j’ai commencé à étudier la musique à l’âge de quatre ans, tout d’abord le piano avec des études complètes effectuées par la suite au conservatoire de Rouen.

Plus tard, j’ai découvert le Fandango du Padre Soler pour clavecin et j’ai été fascinée par la couleur, l’énergie, le son de l’instrument.
Cela dit, mon premier cours de clavecin n’a pas été convaincant car j’ai eu beaucoup de mal à associer le son aux touches, étant donné que le clavecin n’est pas accordé au même diapason que le piano, il y a un décalage. Difficile de s’y adapter lorsqu’on a l’oreille absolue !

Crédit photo Karine Péron Le Ouay

 

Cela m’a beaucoup perturbée au début, j’ai tout de même mis un an à me demander si j’allais y arriver ! Par la suite j’ai poursuivi mes études en Belgique auprès de Robert Kohnen.
J’ai enseigné à Metz pendant dix ans puis il y a eu cette opportunité à Orsay. Le directeur de l’époque, Yves Giraudon, que j’avais rencontré à l’issue d’un concert, m’a fait confiance pour développer le département de musique ancienne.

Michèle Dévérité devant « la Bouvêche », bâtiment où ont lieu régulièrement les auditions de musique ancienne du conservatoire d’Orsay. Crédit photo Karine Péron Le Ouay

J’ai en même temps fondé l’ensemble Fitzwilliam – du nom d’un célèbre mécène du 17ème siècle qui collectionnait les partitions – avec Jean-Pierre Nicolas, avec lequel j’ai sorti quelques disques chez Astrée, Auvidis et Zig-Zag Territoires dont deux créations mondiales consacrées à Merula et Falconieri. J’ai également monté des spectacles mêlant les sens et différents types de musiques, notamment le spectacle Bric Baroque A Brac.

Vous venez d’enregistrer au clavecin une intégrale Forqueray.
Racontez-nous la genèse de ce projet.

Je joue depuis longtemps les œuvres de Forqueray ; la violence et les tourments qu’il y a dans cette musique m’ont toujours fascinée. Il y a quatre ans, je me suis penchée sur leur musique et leur histoire de famille car je cherche toujours à connaitre l’environnement familial, historique d’une œuvre avant de l’interpréter. Et c’est rapidement devenu captivant, comme une véritable enquête pleine d’énigmes !

Quelle est donc l’histoire de cette famille de compositeurs ?

C’est une histoire de famille très compliquée ! Chez les Forqueray compositeurs il y a le père, Antoine, contemporain de Marin Marais et de François Couperin, et le fils, Jean-Baptiste, contemporain de Jean-Philippe Rameau.

Antoine Forqueray était adulé à la cour, il séduisait beaucoup  mais en privé c’était un tout autre discours ! Il était caractériel, violent, un peu schizophrène, c’était une personne abjecte, en particulier avec sa femme et ses enfants. Il était gambiste (ndla : joueur de viole de gambe) – il ne jouait pas de clavecin – et avait été présenté à Louis XIV à l’âge de sept ou huit ans. Le roi l’avait trouvé brillant ce qui lui avait valu d’être intégré aux musiciens de la cour. Il s’était marié avec Angélique Houssu, claveciniste. Très vite, elle s’est aperçu qu’il était un homme violent ; ils ont eu huit ans de procès par la suite ! J’ai lu certains extraits du procès, elle raconte par exemple qu’au moment de la naissance de son fils, son mari l’enfermait dans la chambre sans lui donner à manger, c’est terrible !

Et c’est là que commence l’énigme : comment un homme aussi terrible aurait pu écrire une aussi belle musique ?

Son fils, Jean-Baptiste, jouait aussi bien de la viole de gambe que lui. Il a été de la même manière repéré au même âge par Louis XIV. Son père en était si jaloux qu’il l’a fait emprisonner. Il a ensuite porté plainte en inventant de fausses accusations pour faire exiler son fils hors du Royaume de France pendant dix ans ! Heureusement, Jean-Baptiste était protégé par des mécènes – il donnait notamment des cours au Duc d’Orléans – il a donc obtenu l’autorisation de rentrer mais a tout de même été exilé quelques mois.

En 1747, deux ans après la mort d’Antoine, Jean-Baptiste dit avoir retrouvé quelques pièces de son père et décide de les éditer. Il aurait rajouté trois pièces de sa composition. Fait étonnant, les quatre pièces de jeunesse d’Antoine n’ont pas du tout la même harmonie violente ni la force d’écriture des pièces éditées en 1747. Plus encore, ce qui est troublant c’est que les pièces dédiées aux Forqueray –  Antoine et Angélique – écrites par des compositeurs de l’époque ont été écrites pour la plupart par des amis du fils. Pourquoi auraient-elles été dédiées au père compositeur ?

Mon intuition au regard de l’analyse des oeuvres – car je n’ai pas de preuves – est qu’en fait, c’est Jean-Baptiste qui a écrit les pièces de viole de gambe ! J’ouvre le débat ! Jean-Baptiste aurait d’abord fait une édition pour la viole de gambe et basse continue, puis, la même année, 1747, son épouse Marie-Rose Dubois aurait transcrit ses pièces de viole de gambe pour le clavecin. 

Crédit photo Karine Péron Le Ouay

Si Jean-Baptiste Forqueray est réellement l’auteur de ces œuvres attribuées à son père, pourquoi alors ne l’aurait-il pas revendiqué ?

 Le père, Antoine, avait une réputation que n’avait probablement pas son fils. Il est possible alors que son fils ait décidé de lui faire attribuer ces œuvres pensant que cela lui rapporterait plus d’argent du fait de la réputation de son père. 

Plus encore, comment un compositeur, si doué soit-il, pourrait écrire si bien pour clavecin sans pratiquer l’instrument ? En effet, comme son père, Jean-Baptiste était gambiste. J’ai l’intime conviction que c’est sa femme, Marie-Rose Dubois, qui a fait les transcriptions pour clavecin ! Elle était alors considérée comme la meilleure claveciniste de l’époque… Et si c’était elle qui avait composé les œuvres pour clavecin, qui auraient été retranscrites ensuite pour viole de gambe par son mari Jean-Baptiste ? Une idée savoureuse…

Michèle Dévérité devant le bâtiment de La Bouvêche à Orsay. crédit photo Karine Péron Le Ouay

Pourquoi l’œuvre de Forqueray est-elle si méconnue aujourd’hui ? Lully et Rameau sont des noms de compositeurs baroques bien plus connus !

 Je suis étonnée qu’ils ne soient pas si connus car ils étaient réputés à l’époque. Il y a probablement deux raisons à cela, ce ne sont que des suppositions !

Ces œuvres, initialement donc censées être écrites pour viole de gambe, seraient tombées dans l’oubli peut être tout simplement parce que l’instrument lui-même serait tombé dans l’oubli. D’ailleurs, Antoine Forqueray y est probablement pour quelque chose, son caractère difficile n’ayant peut être pas aidé à véhiculer une très bonne image de l’instrument ! Il était si imbu de lui-même qu’il n’a pas formé d’élève et qu’il n’aurait pas aidé à la longévité de l’instrument.

Autre supposition : la musique de Forqueray est particulièrement difficile à jouer, considérée comme injouable parfois ! La partie de viole de gambe en particulier est redoutable ! Peut être cela est dû à l’influence italienne d’Antoine : il s’était pris de passion pour un italien, Maschetti.

Cette histoire des Forqueray est rocambolesque ! Comment avez-vous découvert tout cela et d’où vous vient cet intérêt pour cette famille de compositeurs ?

 Je ne suis pas musicologue, mais en qualité de musicienne interprète, je m’intéresse toujours au contexte social, familial et historique d’un œuvre. Ma porte d’entrée a été la musique, et cela m’a menée vers l’histoire de cette famille, allant de découvertes en découvertes ! Mes recherches m’ont permis d’entrer dans l’intimité de ces musiciens et cela m’a passionnée. Le contexte familial, les émotions, l’histoire intime du compositeur permettent d’apporter des explications à l’interprète et peuvent même l’aider dans ses choix d’interprétation par rapport à l’écriture de l’œuvre.

J’ai même rencontré la descendante de la famille Forqueray, elle savait qu’Antoine n’avait pas bon caractère mais ignorait pas mal de choses. J’ai un peu l’impression de faire partie de sa famille maintenant avec toutes ces recherches ! Tout ceci a représenté quatre ans de travail non-stop !

Michèle Dévérité. Crédit photo Karine Péron Le Ouay

Ce travail a abouti à la sortie CD d’une intégrale Forqueray, distribuée par Harmonia Mundi et récompensée par un Diapason d’Or…

Oui, il était important pour moi d’aller jusqu’au bout de la démarche : rassembler les œuvres des Forqueray dans un enregistrement, et toutes les œuvres écrites en hommage aux Forqueray.

J’ai pensé tout d’abord faire un disque de clavecin, mais je trouvais dommage tout de même qu’il n’y ait pas de viole de gambe ! Kaori Uemura, avec qui j’avais fait mes études, a immédiatement accepté de me rejoindre sur le projet, puis Ryo Terakado, violon. Robert Kohnen, le deuxième claveciniste, était mon professeur à Bruxelles ! Associé à Kaori à la viole de gambe, Ricardo Rodriguez a complété la partie de basse continue à la viole de gambe. Thierry Bardon, avec qui je travaille depuis de longues années, a effectué la prise de son.

Cet enregistrement a été un grand moment de grâce pour nous tous.

Avez-vous des projets en lien avec cette intégrale Forqueray ?

Oui en juin, un concert à la Cour de Cassation de Paris avec Nicolas Lormeau, mêlant les textes juridiques et la musique… un lieu de circonstance! 

Je suis également invitée à jouer au Logis La Chabotterie (« Musiques à la Chabotterie »), en Vendée, l’été prochain, le 3 août pour un récital. Le thème de cette année étant « les femmes », cela sera l’occasion de mettre en avant Marie – Rose Dubois ! Puis le 6 et le 12 Août au festival de Loquemeau.

Nous jouerons ensuite au festival Marin Marais, le 19 octobre au temple du Foyer de l’Âme à Paris, et avons d’autres dates  en cours de confirmation.

A côté de cette activité d’interprète, vous êtes aussi enseignante au Conservatoire à Rayonnement Départemental d’Orsay.

 J’ai une grande histoire avec ce conservatoire. J’y suis arrivée il y a un peu plus de vingt ans de cela. Le département de musique ancienne n’existait pas, je ne donnais au début que deux heures de cours de clavecin par semaine et j’apportais mon clavecin pour les week-ends de musique ancienne que j’avais mis en place ! On a commencé avec une demi-classe de flûte à bec et quelques heures d’atelier violoncelle et violon. Aujourd’hui nous sommes fiers d’avoir créé un important département de musique ancienne avec treize enseignants. Jean-Pierre Nicolas en est le coordinateur avec moi qui le seconde.

On y apprend toutes sortes d’instruments anciens parmi lesquels les cordes, le hautbois, la flûte, l’orgue, la flûte à bec, le chant ou encore l’écriture ancienne et le solfège ancien. Nous avons aussi un orchestre baroque. Une licence et un master de musique ont été créés en partenariat avec l’Université de Saint-Quentin-en–Yvelines et le Conservatoire à Rayonnement Régional de Versailles. Nous avons également développé un partenariat avec le Centre de Musique Baroque depuis quinze ans : nos élèves musiciens participent aux Jeudis musicaux de la Chapelle Royale avec les Pages et les Chantres.

Les locaux neufs du conservatoire à rayonnement départemental d’Orsay. Crédit photo Karine Péron Le Ouay

Nous accueillons des élèves de toute la France et de l’étranger. Nous avons aussi des élèves professionnels venant se perfectionner à la musique baroque.  Le conservatoire d’Orsay accueille actuellement 1200 étudiants, et les locaux flambant neufs de l’établissement, inaugurés en janvier dernier, vont bientôt nous permettre d’accueillir jusqu’à 1600 élèves.

Aimeriez-vous mettre en avant un artiste que vous appréciez particulièrement ?

Robert Kohnen, mon professeur de clavecin et Wieland Kuijken, professeur de viole de gambe au conservatoire de Bruxelles – j’ai beaucoup accompagné les étudiants de sa classe lorsque j’étais moi-même étudiante. J’aimerais les remercier pour tout ce qu’ils m’ont transmis.

Ce sont les pionniers du renouveau de la musique ancienne dans les années 50. De grands musiciens ayant gardé beaucoup d’humilité devant la partition. J’aime beaucoup cette attitude de ne pas avoir de certitude, c’est une ouverture à la réflexion. Chez les Flamands, à Bruxelles, l’enseignement nous aidait à aller vers l’autonomie et à trouver nous-mêmes notre interprétation. C’est ce que j’essaye d’enseigner à mes élèves, la musique n’est pas notre propriété, il faut laisser les élèves aller et les aider à trouver leur manière de servir la musique.

Wieland Kuijken nous a fait l’honneur de nous prêter sa viole historique pour l’enregistrement ! Il disait que le peu que l’on donne à son élève, il l’emmène dans son pays. C’est vrai! Faire de la musique de chambre avec des personnes de plusieurs nationalités me touche toujours.

Michèle Dévérité dans les locaux du conservatoire d’Orsay. Crédit photo Karine Péron Le Ouay

Quelles sont vos références artistiques ?

Des références baroques il y en a beaucoup, mais j’aime écouter aussi d’autres musiques que le baroque !

Je trouve qu’on apprend beaucoup avec la musique brésilienne et le tango argentin qui ont un certain nombre de points communs avec la musique baroque. La musique brésilienne a une harmonie d’une richesse et d’une suavité qu’on retrouve dans le baroque. Quant au tango argentin, on a le même effet de suspension dans la rhétorique. Le tango au clavecin d’ailleurs,  ça marche très bien ! Même le jazz a quelque chose de commun avec la musique baroque : le swing du jazz, on l’a dans la musique baroque. L’inégalité, il suffit de la faire danser. En allant plus loin, j’accorde aussi beaucoup d’importance au théâtre et à la voix. J’aime trouver un texte à lire sur une musique. Dire un texte a bien plus de force que de le lire, et le texte et le rythme de la scansion peuvent aider pour la compréhension de cette musique dite tellement subtile.

Crédit Photo Karine Péron Le Ouay

Si vous aviez une émotion à partager ou un sens à donner à votre musique …

La musique est un langage universel ayant le pouvoir de guérison et de partage. Je milite pour aller jouer dans les endroits peu habitués à recevoir de la musique baroque !

C’est ce que j’apprécie avec les « Concerts de Poche », association avec laquelle l’ensemble Fitzwilliam est intervenu : l’idée est d’inviter des interprètes connus pour aller jouer dans des lieux inhabituels ;  on va directement chez les gens, dans leur quartier. Ce sont des lieux qu’ils connaissent donc ils ne sont pas intimidés comme s’ils devaient entrer dans une salle de concert inconnue et  impressionnante. Cela permet plus de proximité et donne un accès aux émotions plus directement. Et nous on s’adapte à l’acoustique des gymnases ou autres anciennes brasseries ! On anime des ateliers puis on joue. Par exemple nous avons animé un atelier auprès de femmes battues, ou auprès de réfugiés politiques. Nous avons beaucoup reçu de ces échanges.

Je suis sensible aux cinq sens de l’homme, j’ai monté deux spectacles autour de ce concept (ndla : Le Labyrinthe des cinq sens et Bric Baroque à Brac) : chaque sens constitue une porte d’entrée menant à l’émotion musicale. Il nous est arrivé de débuter un atelier autour du nez avec des poèmes. Nous avons abordé les émotions liées aux odeurs, et de fil en aiguille nous avons terminé par l’ouïe et la musique !

Voilà le rôle du musicien : partager des émotions. La musique a le pouvoir d’éviter la violence en apportant plus de partage et de compréhension.

On y fait toujours des rencontres touchantes, comme cet enfant une fois qui, à l’issue du concert, m’a dit « J’ai surtout aimé le morceau que tu as joué parce qu’il était triste et ça m’a rappelé la mort de mon lapin ». Quelque part, lorsqu’on touche aux émotions par la musique, c’est une belle récompense.

Michèle Dévérité. Crédit photo Karine Péron Le Ouay

 

Pour en savoir plus :

L’intégrale Forqueray est disponible chez Harmonia Mundi : www.harmoniamundi.com
 Un disque de textes illustrant la vie des Forqueray, lus par Nicolas Lormeau de la Comédie-Française, complète l’enregistrement.

L’ensemble de Michèle Dévérité : www.ensemble-fitzwilliam.com

 Le Conservatoire à Rayonnement Départemental de Paris-Saclay, situé à Orsay : http://www.paris-saclay.com/culture/conservatoires/crd-paris-saclay

Les Concerts de Poche : www.concertsdepoche.com


Interview et photos : Karine Péron Le Ouay. L’article et les photographies ne sont pas libres de droits. Pour tout contact : karine@lalleedesrendezvous.fr

 Si vous appréciez les articles du blog, n’hésitez pas à laisser un commentaire et à vous abonner à la page Facebook lalleedesrendezvous, vous y trouverez d’autres informations et visuels.

 

PORTRAIT | Michèle Dévérité, claveciniste was last modified: mai 16th, 2018 by Karine
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2 commentaires

Pottier laurence 21 mai 2018 at 20 h 22 min

Très bon article et photos excellentes!! Bravo!

Répondre
Karine 28 mai 2018 at 18 h 48 min

Merci beaucoup Laurence! Je vous invite à suivre la page Facebook @lalleedesrendezvous si vous souhaitez être tenue au courant des prochains articles. A bientôt!

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